Les dernières actus Schilick-Ecologie
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Actu postée le 2024-01-19 Ă 16h05
Projet Tram Nord et mise en conformité du PLUi
En tant qu'association de Schilick préoccupée par le bien-être de ses habitants et des enjeux écologiques, climat, qualité de l'air, sécurité dans un espace public apaisé, nous sommes conscients que des changements doivent être mis en place face à un environnement qui a énormément évolué ces dernières décennies. Un projet courageux a été élaboré pour améliorer la situation actuelle. L'implantation d'une nouvelle ligne de tram va rendre service à une grande partie de la population. C'est aussi l'opportunité de réorganiser toute les mobilités dans la ville au sein d'un unique chantier, on aurait mal compris un sectionnement des travaux dans le temps. L'extension du projet initial a évidemment augmenté son coût qui reste cependant plus que modeste pour Schiltigheim elle-même.
Le projet Tram nord dans son ensemble s’inscrit complètement dans les objectifs définis par le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) et dans le plan d’aménagement et de développement durable (PADD). Ces objectifs sont :
- « La facilitation des déplacements de proximité, notamment en améliorant les infrastructures piétonnes et cyclables » (PLUi)
- « La réduction de la pollution et de la dépendance à l’automobile, en développant les alternatives pertinentes à la voiture individuelle » (PLUi)
- « Le renforcement de l’offre de transports en commun dans l’Eurométropole de Strasbourg » (PLUi)
- « La limitation des flux automobiles, quand il existe d’autres possibilités de déplacement » (PLUi)
- « Requalifier les voies majeures de circulation de grande qualités patrimoniales, en tenant compte de leur histoire et de leur aménagement d’origine, notamment la ceinture des boulevards et les artères structurantes de la Neustadt » (OPA Grand Centre)
- « Le déploiement/réorganisation des transports en commun doit se faire conjointement à une modification structurelle du fonctionnement routier de la métropole » (PADD)
Concernant la piétonnisation d'une partie de la route de Bischwiller, à part l'apaisement de cette voie, c'est le seul moyen d'éviter le transit des quelques 30% de véhicules qui ne s'arrêtent pas dans notre ville et qui pourrons toutefois accéder à leur destination par des voies plus extérieures. Nous sommes donc favorables à la nouvelle hiérarchisation des voieries. Le tram doit trouver sa place dans l'organisation viaire future.
Ex : la rte de Bischwiller en devenant piétonne, ne sera plus une voie de transit mais une voie de desserte. Le nouveau statut des voieries avec l'arrivée du tram implique de faire évoluer le règlement graphique pour le rendre possible."L’accès automobile restera possible selon les besoins (riverains, services publics, livraisons, etc.) mais toute leur place sera donnée aux modes actifs (piétons et cycles) et à la végétalisation. Les stationnements supprimés sur la voie publique seront canalisés vers des parkings collectifs.
Le projet Tram nord dans son ensemble s’inscrit complètement dans les objectifs définis par le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) et dans le plan d’aménagement et de développement durable (PADD). Ces objectifs sont :
- « La facilitation des déplacements de proximité, notamment en améliorant les infrastructures piétonnes et cyclables » (PLUi)
- « La réduction de la pollution et de la dépendance à l’automobile, en développant les alternatives pertinentes à la voiture individuelle » (PLUi)
- « Le renforcement de l’offre de transports en commun dans l’Eurométropole de Strasbourg » (PLUi)
- « La limitation des flux automobiles, quand il existe d’autres possibilités de déplacement » (PLUi)
- « Requalifier les voies majeures de circulation de grande qualités patrimoniales, en tenant compte de leur histoire et de leur aménagement d’origine, notamment la ceinture des boulevards et les artères structurantes de la Neustadt » (OPA Grand Centre)
- « Le déploiement/réorganisation des transports en commun doit se faire conjointement à une modification structurelle du fonctionnement routier de la métropole » (PADD)
Concernant la piétonnisation d'une partie de la route de Bischwiller, à part l'apaisement de cette voie, c'est le seul moyen d'éviter le transit des quelques 30% de véhicules qui ne s'arrêtent pas dans notre ville et qui pourrons toutefois accéder à leur destination par des voies plus extérieures. Nous sommes donc favorables à la nouvelle hiérarchisation des voieries. Le tram doit trouver sa place dans l'organisation viaire future.
Ex : la rte de Bischwiller en devenant piétonne, ne sera plus une voie de transit mais une voie de desserte. Le nouveau statut des voieries avec l'arrivée du tram implique de faire évoluer le règlement graphique pour le rendre possible."L’accès automobile restera possible selon les besoins (riverains, services publics, livraisons, etc.) mais toute leur place sera donnée aux modes actifs (piétons et cycles) et à la végétalisation. Les stationnements supprimés sur la voie publique seront canalisés vers des parkings collectifs.
La nécessité du changement demande que nous changions également nos habitudes. Dans l'intérêt public, nous soutenons donc ce projet qui refuse le statu quo.
SCHILICK ECOLOGIE
SCHILICK ECOLOGIE
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Actu postée le 2022-01-30 Ă 12h19
Communiqué de presse concernant la sécurisation du "tunnel de Rungis"
Suite à la fermeture provisoire aux automobilistes, à compter du 13 décembre 2021, du tunnel de Rungis à Schiltigheim, l’association Schilick Ecologie apporte son soutien à cette mesure.
Schilick Écologie considère que les piétons, les personnes à mobilité réduite ainsi que les cyclistes ont droit à une circulation sécurisée.
Or il n’existe pas actuellement de cheminement sécurisé pour ces personnes, que ce soit par le tunnel de Rungis ou par le chemin des deux Ponts.
Compte tenu de la configuration de ces deux passages, Schilick Ecologie se positionne en faveur de la suppression de la circulation automobile par le tunnel de Rungis et de l’aménagement d’un débouché du chemin des deux Ponts sur la route du Général de Gaulle afin de fluidifier le trafic de ce carrefour.
Schilick Écologie considère que les piétons, les personnes à mobilité réduite ainsi que les cyclistes ont droit à une circulation sécurisée.
Or il n’existe pas actuellement de cheminement sécurisé pour ces personnes, que ce soit par le tunnel de Rungis ou par le chemin des deux Ponts.
Compte tenu de la configuration de ces deux passages, Schilick Ecologie se positionne en faveur de la suppression de la circulation automobile par le tunnel de Rungis et de l’aménagement d’un débouché du chemin des deux Ponts sur la route du Général de Gaulle afin de fluidifier le trafic de ce carrefour.
Schilick Ecologie - décembre 2022
L'association vous invite à participer à la réunion publique de concertation le 8 février 2022 à 18h à la salle Kléber, route du Gal de Gaulle à Schiltigheim (à côté de l'église catholique)
L'association vous invite à participer à la réunion publique de concertation le 8 février 2022 à 18h à la salle Kléber, route du Gal de Gaulle à Schiltigheim (à côté de l'église catholique)
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Actu postée le 2018-01-30 Ă ; 19h37
Le 7 février à 20H30 Projection du film Les Sentinelles suivi d'un débat, au Parlement Européen
En présence de :
Pierre Pezerat (réalisateur des Sentinelles)
Michèle Rivasi (députée européenne écologiste)
José Bové (député européen -sous réserve)
et d'ex salariés de Triskalia (victimes des pesticides).
Dans ce documentaire, les sentinelles sont des femmes et des hommes empoisonnés par leur travail. Le film raconte comment et pourquoi ils et elles en sont arrivés là , quelle est leur lutte, comment l'histoire se répète. À sa façon, le film a aussi un rôle de sentinelle.
Pierre Pézerat a recueilli le témoignage de victimes de l'amiante et des pesticides, et relate leur lutte pour la reconnaissance de leurs maladies professionnelles. Un véritable parcours du combattant qui n'aboutit pas toujours, et qui pose question. Les responsables de la catastrophe de l'amiante et des pesticides seront-ils un jour punis ?
Il rend hommage aux lanceurs d'alerte, dont Henri Pézerat, son père. Éminent toxicologue (1928-2009), chercheur au CNRS, Henri Pézerat fut parmi les premiers à dénoncer dans les années 1970 depuis son laboratoire de Jussieu, à Paris, le scandale de l'amiante, dont l'usage sera autorisé en France jusqu'en 1997. Et ce malgré la dangerosité connue dès les années 1930 de ce matériau. Précurseur de la toxicologie de l'environnement, avec sa compagne Annie Thébaud-Mony chercheuse à l'Inserm et spécialiste de santé publique, Henri Pézerat s'est engagé pour interdire l'amiante et aider les victimes à faire reconnaître leurs droits.
Le récit des Sentinelles s'étire sur une quarantaine d'années. Il réunit des gens qui, d'ordinaire, ne sont pas voués à se rencontrer : des ouvriers, des paysans et des scientifiques. On entre dans sa première partie par la porte de l'usine Amisol, près de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), fermée en 1974, accompagné d'une ex-ouvrière du tissage qui a travaillé et respiré l'amiante « comme de la neige ». De Michelin à Eternit en passant par les chantiers navals de Saint-Nazaire s'écrit le même scénario, avec les mêmes profils de victimes ? des ouvriers modèles ?, la menace du chômage, les enjeux économiques?
Pierre Pezerat (réalisateur des Sentinelles)
Michèle Rivasi (députée européenne écologiste)
José Bové (député européen -sous réserve)
et d'ex salariés de Triskalia (victimes des pesticides).
Dans ce documentaire, les sentinelles sont des femmes et des hommes empoisonnés par leur travail. Le film raconte comment et pourquoi ils et elles en sont arrivés là , quelle est leur lutte, comment l'histoire se répète. À sa façon, le film a aussi un rôle de sentinelle.
Pierre Pézerat a recueilli le témoignage de victimes de l'amiante et des pesticides, et relate leur lutte pour la reconnaissance de leurs maladies professionnelles. Un véritable parcours du combattant qui n'aboutit pas toujours, et qui pose question. Les responsables de la catastrophe de l'amiante et des pesticides seront-ils un jour punis ?
Il rend hommage aux lanceurs d'alerte, dont Henri Pézerat, son père. Éminent toxicologue (1928-2009), chercheur au CNRS, Henri Pézerat fut parmi les premiers à dénoncer dans les années 1970 depuis son laboratoire de Jussieu, à Paris, le scandale de l'amiante, dont l'usage sera autorisé en France jusqu'en 1997. Et ce malgré la dangerosité connue dès les années 1930 de ce matériau. Précurseur de la toxicologie de l'environnement, avec sa compagne Annie Thébaud-Mony chercheuse à l'Inserm et spécialiste de santé publique, Henri Pézerat s'est engagé pour interdire l'amiante et aider les victimes à faire reconnaître leurs droits.
Le récit des Sentinelles s'étire sur une quarantaine d'années. Il réunit des gens qui, d'ordinaire, ne sont pas voués à se rencontrer : des ouvriers, des paysans et des scientifiques. On entre dans sa première partie par la porte de l'usine Amisol, près de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), fermée en 1974, accompagné d'une ex-ouvrière du tissage qui a travaillé et respiré l'amiante « comme de la neige ». De Michelin à Eternit en passant par les chantiers navals de Saint-Nazaire s'écrit le même scénario, avec les mêmes profils de victimes ? des ouvriers modèles ?, la menace du chômage, les enjeux économiques?
ATTENTION // La pré-inscription est obligatoire, merci d'envoyer un mail à : andre.rochinha91@gmail.com avec vos nom, prénom, date et lieu de naissance, adresse et numéro de carte d'identité ou de passeport.
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Actu postée le 2018-01-05 Ă ; 16h59
Bonne Année 2018 à Schiltigheim ... ou à Lampertheim ?
Une Bonne Année à Schiltigheim ?
Avec des moyens de déplacements efficaces, sûrs et moins polluants ?
Des services municipaux non saturés et à l'écoute du monde qui bouge ?
Des espaces de nature permettant détente, rencontres collaboratives et respiration ?
Une école des Arts et des associations proposant une large palette d'activités artistiques, sportives et de loisirs pour tous y compris pour les nouveaux habitants ?
Des écoles de proximité avec des classes non surchargées, sans grever le budget de la commune ?
La valorisation du patrimoine bâti et de l'histoire ouvrière de notre cité ?
Le développement du tourisme patrimonial ?
Une saison culturelle foisonnante pour tous ?
Etc ?
Du Rififi dans la majorité
Il n'est pas sûr de pouvoir nous souhaiter tout cela, malgré une éventuelle éclaircie au vu de ce qui s'est passé au dernier conseil municipal schilikois du mois de décembre (démission du 1er adjoint qui passe à l'opposition, budget 2018 non adopté).
Ce revirement est bien trop tardif pour la médiathèque et la friche simply qui va se remplir de 3 grands bâtiments de logements à la place d'une médiathèque de qualité et de l'agrandissement du parc de la résistance, mais aussi pour la grange et la remise en pan-de-bois sur le site du Dinghof qui ont été indûments détruites (!), trop tard aussi pour les jardins arrachés au bénéfice de parkings et pour tous les espaces de nature remplacés par des constructions aux 4 coins de la commune, sans réflexion.
Un conseil municipal responsable... mais Ă Lampertheim
Vous trouverez ci-dessous 2 articles (extraits) parus dans les Dernières Nouvelles d'Alsace le 31 décembre 2017 :
- Le 1er relate une décision prise par les élus de Lampertheim pour sauvegarder la qualité de vie dans leur village,
- Le 2ème détaille la folie constructive du maire de Schiltigheim, au détriment de la qualité de vie de ses administrés.
Pour rappel, ce sinistre personnage possède sa résidence principale... à Lampertheim.
Il bénéficie donc au quotidien des décisions du conseil municipal de cette commune où il ne siège pas.
A l'inverse, cet irresponsable prend des décisions irrévocables depuis son élection comme maire de Schiltigheim, décisions qui impactent NOTRE quotidien sur le long terme.
Cherchez l'erreur !
Anne Sommer
Schiltigheim le 04/01/2018
Avec des moyens de déplacements efficaces, sûrs et moins polluants ?
Des services municipaux non saturés et à l'écoute du monde qui bouge ?
Des espaces de nature permettant détente, rencontres collaboratives et respiration ?
Une école des Arts et des associations proposant une large palette d'activités artistiques, sportives et de loisirs pour tous y compris pour les nouveaux habitants ?
Des écoles de proximité avec des classes non surchargées, sans grever le budget de la commune ?
La valorisation du patrimoine bâti et de l'histoire ouvrière de notre cité ?
Le développement du tourisme patrimonial ?
Une saison culturelle foisonnante pour tous ?
Etc ?
Du Rififi dans la majorité
Il n'est pas sûr de pouvoir nous souhaiter tout cela, malgré une éventuelle éclaircie au vu de ce qui s'est passé au dernier conseil municipal schilikois du mois de décembre (démission du 1er adjoint qui passe à l'opposition, budget 2018 non adopté).
Ce revirement est bien trop tardif pour la médiathèque et la friche simply qui va se remplir de 3 grands bâtiments de logements à la place d'une médiathèque de qualité et de l'agrandissement du parc de la résistance, mais aussi pour la grange et la remise en pan-de-bois sur le site du Dinghof qui ont été indûments détruites (!), trop tard aussi pour les jardins arrachés au bénéfice de parkings et pour tous les espaces de nature remplacés par des constructions aux 4 coins de la commune, sans réflexion.
Un conseil municipal responsable... mais Ă Lampertheim
Vous trouverez ci-dessous 2 articles (extraits) parus dans les Dernières Nouvelles d'Alsace le 31 décembre 2017 :
- Le 1er relate une décision prise par les élus de Lampertheim pour sauvegarder la qualité de vie dans leur village,
- Le 2ème détaille la folie constructive du maire de Schiltigheim, au détriment de la qualité de vie de ses administrés.
Pour rappel, ce sinistre personnage possède sa résidence principale... à Lampertheim.
Il bénéficie donc au quotidien des décisions du conseil municipal de cette commune où il ne siège pas.
A l'inverse, cet irresponsable prend des décisions irrévocables depuis son élection comme maire de Schiltigheim, décisions qui impactent NOTRE quotidien sur le long terme.
Cherchez l'erreur !
Anne Sommer
Schiltigheim le 04/01/2018
(extrait) DNA 31/12/2017
« Lampertheim - Les élus contre « une concentration de logements » au coeur du village
Les élus de Lampertheim viennent de voter, à l'unanimité, une motion pour demander que le plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de l'Eurométropole préserve davantage leur village.
[...]
« De trop nombreux projets immobiliers, examinés depuis plusieurs mois en mairie, montrent que le PLUi permet désormais une concentration de logements dans ces secteurs qui ne s'y prêtent pas.[...] ». Pour les élus de Lampertheim, « utiliser tous les potentiels possibles, quels que soient le coût social et les dommages faits au patrimoine existant n'est pas admissible ».
[...]
La trop grande densification du centre des villages anciens « mal desservis par les transports en commun et dans lesquels la place de la voiture n'a pas été prévue » pose des problèmes de stationnement.
[...]
La commune doit « se développer mais tout en gardant son caractère ». [...] les élus « revendiquent un rôle légitime d'acteur du territoire local, pratiquant une gestion éclairée et responsable de l'espace public en phase avec ce PLUi ». En clair, s'ils acceptent les besoins en logements neufs dans l'Eurométropole, ils ne comptent pas accepter n'importe quoi en matière d'urbanisme dans leur village. »
(extrait) DNA 31/12/2017 Sophie Weber
« Schiltigheim - Urbanisme Le défrichage suit son cours
Venir à bout des friches en un mandat, c'est le défi que s'est lancé Jean-Marie Kutner, le maire de Schiltigheim. Malgré la crise politique que traverse la ville, les chantiers avancent. En 2018, de nouvelles constructions se termineront ou démarreront. D'autres projets sont encore en attente.
La stratégie de renouvellement urbain, menée au pas de charge par le maire Jean-Marie Kutner, suscite des levées de boucliers et nuit à la cohésion de la majorité municipale. Le premier adjoint Christian Ball l'a quittée en arguant, entre autres, de ses doutes sur plusieurs projets, dont les logements sur le site de la médiathèque. Si 2018 sera sans aucun doute une année riche en rebondissements politiques à la mode schilikoise, les chantiers ne vont cependant pas s'arrêter pour autant. Certains arriveront même à leur terme. [...] »
La journaliste égraine ensuite la plupart des projets immobiliers initiés par le maire de Schiltigheim ainsi que le projet du complexe sportif Nelson Mandela initié par l'équipe précédente et même le site Schutzenberger en attente de destination depuis le décès de sa propriétaire. Mais aucune allusion à d'éventuelles solutions pour améliorer l'accessibilité (transports en commun performants, déplacements cyclables sûrs, trottoirs élargis), encore moins sur la politique municipale nécessaire pour pouvoir accueillir dignement ces milliers d'habitants supplémentaires (crèches, écoles, activités périscolaires, programmation culturelle ambitieuse et élargie, services municipaux, ?).
« Lampertheim - Les élus contre « une concentration de logements » au coeur du village
Les élus de Lampertheim viennent de voter, à l'unanimité, une motion pour demander que le plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de l'Eurométropole préserve davantage leur village.
[...]
« De trop nombreux projets immobiliers, examinés depuis plusieurs mois en mairie, montrent que le PLUi permet désormais une concentration de logements dans ces secteurs qui ne s'y prêtent pas.[...] ». Pour les élus de Lampertheim, « utiliser tous les potentiels possibles, quels que soient le coût social et les dommages faits au patrimoine existant n'est pas admissible ».
[...]
La trop grande densification du centre des villages anciens « mal desservis par les transports en commun et dans lesquels la place de la voiture n'a pas été prévue » pose des problèmes de stationnement.
[...]
La commune doit « se développer mais tout en gardant son caractère ». [...] les élus « revendiquent un rôle légitime d'acteur du territoire local, pratiquant une gestion éclairée et responsable de l'espace public en phase avec ce PLUi ». En clair, s'ils acceptent les besoins en logements neufs dans l'Eurométropole, ils ne comptent pas accepter n'importe quoi en matière d'urbanisme dans leur village. »
(extrait) DNA 31/12/2017 Sophie Weber
« Schiltigheim - Urbanisme Le défrichage suit son cours
Venir à bout des friches en un mandat, c'est le défi que s'est lancé Jean-Marie Kutner, le maire de Schiltigheim. Malgré la crise politique que traverse la ville, les chantiers avancent. En 2018, de nouvelles constructions se termineront ou démarreront. D'autres projets sont encore en attente.
La stratégie de renouvellement urbain, menée au pas de charge par le maire Jean-Marie Kutner, suscite des levées de boucliers et nuit à la cohésion de la majorité municipale. Le premier adjoint Christian Ball l'a quittée en arguant, entre autres, de ses doutes sur plusieurs projets, dont les logements sur le site de la médiathèque. Si 2018 sera sans aucun doute une année riche en rebondissements politiques à la mode schilikoise, les chantiers ne vont cependant pas s'arrêter pour autant. Certains arriveront même à leur terme. [...] »
La journaliste égraine ensuite la plupart des projets immobiliers initiés par le maire de Schiltigheim ainsi que le projet du complexe sportif Nelson Mandela initié par l'équipe précédente et même le site Schutzenberger en attente de destination depuis le décès de sa propriétaire. Mais aucune allusion à d'éventuelles solutions pour améliorer l'accessibilité (transports en commun performants, déplacements cyclables sûrs, trottoirs élargis), encore moins sur la politique municipale nécessaire pour pouvoir accueillir dignement ces milliers d'habitants supplémentaires (crèches, écoles, activités périscolaires, programmation culturelle ambitieuse et élargie, services municipaux, ?).